Le jardin des plantes de Nantes
Le Jardin des Plantes fait partie de la vie de Nantes depuis 1687. Il est un repère dans la ville, fréquenté autant par les amoureux de la nature que par les étudiants pendant leurs cours de sciences naturelles et les Nantais qui y trouvent un espace récréatif.
Le 21 mars 2013, l’écrivain Yannick Guilbaud a initié deux douzaines de convives aux secrets du Jardin des plantes pendant le repas culinaro-culturel de l’Institut Edouard Nignon.
Le 21 mars 2013, l’écrivain Yannick Guilbaud a initié deux douzaines de convives aux secrets du Jardin des plantes pendant le repas culinaro-culturel de l’Institut Edouard Nignon.
L'histoire des jardins des plantes
Sous Louis XIV déjà, les apothicaires ont créé un premier jardin sur le terrain d’entrainement au tir à l’arc près de l’actuelle rue Paré ( à l’emplacement où se trouve actuellement le magasin C&A). Les 1300 bateaux du port ramenenaient de nombreuses plantes exotiques des pays lointains, souvent en mauvais état. Certaines ont été replantées dans le jardin. Un certain Pierre Chirac a laissé alors son nom attaché à ce jardin de plantes médicinales.
Un deuxième jardin à vocation botanique a été dirigé par Hectot sur l’emplacement actuel du lycée Clémenceau. Le jardin a perduré jusqu’en 1877.
Trop à l’étroit, le troisième a été créé en pleine campagne dans un terrain en friche envahi par les ronces. C’est celui que nous connaissons aujourd’hui près de la gare. A l’époque, l’horizon était dégagé et permettait d’apercevoir la Loire et les maisons de la rive sud de Rezé et Saint Sébastien.
Le jardin devint municipal en 1819. Plusieurs directeurs du jardin se sont succédés. Titulaire de la chair de botanique en 1836, Jean-Marie Ecorchard a marqué l’histoire du jardin pendant 46 années. D’un caractère bien trempé, il avait des idées bien arrêtées, et ne tenait aucun compte des avis des responsables de la ville. Sa fougue a donné naissance au creusement des bassins, à l’aménagement de la montagne qui elle seule aura quand même mobilisé 500 paires de bras pendant plusieurs années. Il a retenu le style paysager anglais qui donne un caractère plus naturel que le style français très rectiligne. Il a mis au point un ingénieux système de siphon pour faire circuler l’eau des cascades, un système qui fonctionne encore aujourd’hui. Mais un jour qu’il parlait à un groupe d’étudiants, une vipère l’a mordu. Passionné par ses explications, il ne s’est pas occupé de sa blessure et a continué son cours. Il était trop tard ensuite pour se soigner et il a succombé à cette blessure en 1882.
Un deuxième jardin à vocation botanique a été dirigé par Hectot sur l’emplacement actuel du lycée Clémenceau. Le jardin a perduré jusqu’en 1877.
Trop à l’étroit, le troisième a été créé en pleine campagne dans un terrain en friche envahi par les ronces. C’est celui que nous connaissons aujourd’hui près de la gare. A l’époque, l’horizon était dégagé et permettait d’apercevoir la Loire et les maisons de la rive sud de Rezé et Saint Sébastien.
Le jardin devint municipal en 1819. Plusieurs directeurs du jardin se sont succédés. Titulaire de la chair de botanique en 1836, Jean-Marie Ecorchard a marqué l’histoire du jardin pendant 46 années. D’un caractère bien trempé, il avait des idées bien arrêtées, et ne tenait aucun compte des avis des responsables de la ville. Sa fougue a donné naissance au creusement des bassins, à l’aménagement de la montagne qui elle seule aura quand même mobilisé 500 paires de bras pendant plusieurs années. Il a retenu le style paysager anglais qui donne un caractère plus naturel que le style français très rectiligne. Il a mis au point un ingénieux système de siphon pour faire circuler l’eau des cascades, un système qui fonctionne encore aujourd’hui. Mais un jour qu’il parlait à un groupe d’étudiants, une vipère l’a mordu. Passionné par ses explications, il ne s’est pas occupé de sa blessure et a continué son cours. Il était trop tard ensuite pour se soigner et il a succombé à cette blessure en 1882.
Le jardin des plantes de Nantes
L’espace botanique est situé dans le haut du jardin. De grandes serres abritent des espaces tropicales. En entrant dans la serre, on est surpris par la chaleur humide et par les odeurs exotiques qui peuvent incommoder certains. Des palmiers et de nombreuses espèces vivent ici une vie décalée. Certaines plantes s’y développeraient même si bien qu’on pourrait presque les voir pousser si l’on s’attardait un peu ! Des droseras carnivores sont aussi prêtes à avaler des insectes imprudents.
Des pareterres présentent des milliers de plantes différentes avec des étiquettes pour les identifier. Sur le coté Est, une longue haie de camélias fait la gloire du jardin. Les arbres rapportées des expéditions lointaines encerclent et dissimule la montagne. Les botanistes amateurs et professionnels sont comblés.
Les plans d’eau font les délices des colverts, poules d’eaux, bernaches et autres canards qui vivent en liberté et qui se sentent en sécurité malgré la proximité des hommes.
En famille ou tout seul, se promener dans le jardin des plantes est l’assurance de vivre un moment privilégié en oubliant les soucis du quotidien...
Des pareterres présentent des milliers de plantes différentes avec des étiquettes pour les identifier. Sur le coté Est, une longue haie de camélias fait la gloire du jardin. Les arbres rapportées des expéditions lointaines encerclent et dissimule la montagne. Les botanistes amateurs et professionnels sont comblés.
Les plans d’eau font les délices des colverts, poules d’eaux, bernaches et autres canards qui vivent en liberté et qui se sentent en sécurité malgré la proximité des hommes.
En famille ou tout seul, se promener dans le jardin des plantes est l’assurance de vivre un moment privilégié en oubliant les soucis du quotidien...
Le café de l'Orangerie
Dans le haut du jardin près des serres tropicales, le Café de l’Orangerie accueille le public sur une terrasse qui domine les alentours, et compte depuis 2011 une salle de restaurant.
Coté papilles, le Café de l’Orangerie a su combler l’assemblée. Le repas s’est déroulé dans une ambiance chaleureuse accompagné de bons vins de la région.
L’entrée a ravi par son délicieux Brie de Meaux finement pané. Elle a été suivie d’une étonnante association sucré-salé avec un sauté d’agneau aux fruits secs mielés et quinoa.
Et c’est sur la note fruitée et gourmande du Samoussa aux pommes caramélisées que l’on a conclut ce déjeuner riche de saveurs et d’histoire.
Le repas a donc reçu les félicitations générales et le restaurant a sûrement gagné, de nombreux adeptes, des gourmands qui, au détour d’une escapade fleurie dans le magnifique jardin des plantes, viendront se régaler ou prendre un thé.
Café de l'Orangerie
15 rue Gambetta
44000 Nantes
02 28 44 27 08
Coté papilles, le Café de l’Orangerie a su combler l’assemblée. Le repas s’est déroulé dans une ambiance chaleureuse accompagné de bons vins de la région.
L’entrée a ravi par son délicieux Brie de Meaux finement pané. Elle a été suivie d’une étonnante association sucré-salé avec un sauté d’agneau aux fruits secs mielés et quinoa.
Et c’est sur la note fruitée et gourmande du Samoussa aux pommes caramélisées que l’on a conclut ce déjeuner riche de saveurs et d’histoire.
Le repas a donc reçu les félicitations générales et le restaurant a sûrement gagné, de nombreux adeptes, des gourmands qui, au détour d’une escapade fleurie dans le magnifique jardin des plantes, viendront se régaler ou prendre un thé.
Café de l'Orangerie
15 rue Gambetta
44000 Nantes
02 28 44 27 08
Maître Pierre avec Yvon Garnier
Textes de Gaëlle Kammerer
Vatel 2022
Le Serboistel
Le Berlingot Nantais
Serbotel 2021
Le Poisson du Serbotel
Muséum d’Histoire Naturelle
Château de la Frémoire
La Gaudinière
Prix Clémence
Le portrait d'Edouard Nignon
Le pain Nignon sur M6
Chez Vatel
Le bon goût au fil des mots
Visioconférence Jitsi
L'école du bois
L’histoire des magasins Decré
Lycée Nicolas Appert
Des Roquios aux Navibus
Manger des yeux
Charles Monselet roi des gastronomes
Serbotel 2019
Jeudi soir au marché de Talensac
Les mots au Palais
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Du Fleuve à l’assiette, le SILURE à la Carte
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Le pain Nignon chez Presse Océan
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Le Lycée Bougainville
Le pain Nignon
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Le Foie Gras dans tous ses états au Lycée Daniel Brottier
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Les 10 ans de l'Institut Edouard Nignon
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Champagne 2017
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La semaine de la cuisine nantaise
La saveur des mots avec Jean-Marc Taitre
Alsace septembre 2017
La cathédrale de Nantes
Concours du pain d'épices au miel
Terre et Mer, Honorera
Concours de la tarte au citron meringuée
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Mairie de Nantes 2016
Les confréries gastronomiques et oenologiques
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Opération chefs de gare
La Taverne du Château
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Label Réserve
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Les fleurs de Galina Courtois
La peinture culinaire au Serbotel
Le jardin des plantes de Nantes
Le Min ou Marché d'intérêt national
Concours de cuisine de gateaux nantais
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Saga à Vannes
Agapé
Bréal Sous Montfort
Tendance cuisine 2009
Salon cuisine et tendance